jeudi 23 janvier 2014

"Un an à l'école des cracks" (Reportages, émission du 18 janvier 2014)

De plus en plus le samedi, malgré le temps que cela me prend sur mon planning de travail, je regarde Reportages, le magazine d'info de TF1 après le journal de 13h. Je trouve que les sujets sont presque toujours captivants et les reportages sont bien faits, suffisamment longs pour apprécier l'information. La semaine dernière ou celle d'avant, il y avait un reportage sur les animaux du spectacle et leur dresseur. Il y avait  par exemple un dresseur de tigres dans un cirque ou un dresseur de loups. C'était très intéressant et surtout émouvant de voir la passion de ces hommes et femmes dans leur métier de dresseurs et les relations qu'ils arrivent à créer avec les animaux qu'ils dressent.

Samedi dernier, la première partie de l'émission était consacrée aux jeunes élèves de l'école de courses hippiques de Gouvieux, non loin de Chantilly où ont été formés les plus grands jockeys. Je vous avais déjà expliqué dans un billet datant de cet été, à mon retour d'une course hippique, que j'étais fascinée par ce monde, qui m'est complètement inconnu et inaccessible mais je suis étrangement admirative des performances des jockeys, de leurs chevaux et puis ce monde que l'on imagine très fermé, très guindé quelque part aussi.

Mais j'adore ! En vrai, j'ai été bluffé, en vidéo, je suis restée scotchée à la télé !

Il y a certes, comme dans tous les sports, l'aspect compétition et gains qui vont avec mais comme dans toute pratique sportive (et pratiques amateurs d'ailleurs aussi), il y a d'abord une passion je pense (familial parfois). Et c'est ce côté passion de la course, de la vitesse, des performances du cheval (même si je suis consciente de tout ce que cela implique, comme dans n'importe quel sport) et du monde équin qui me plait. Un cheval, cela en impose quand même et c'est tout un univers qui lui est lié, comme l'univers des concours canins ou félins qui m'impressionne tout autant car cela dépasse la passion et cela devient un métier. Et dans les courses hippiques aussi, la vidéo le montre bien : c'est une école, il y a des échecs et des réussites, de la joie et des coups durs...

Récemment dans le train j'ai rencontré une jeune élève d'une école qui rêve de devenir jockey. Une fille, j'étais très étonnée ! Dans les images qui nous viennent à l'esprit lorsque l'on pense aux courses hippiques, on pense à un monde très masculin mais en réalité, les filles sont tout aussi représentées. J'ai beaucoup aimé discuter avec cette ado et cela m'a même donné un petit coup de nostalgie en la voyant lire "Grand Galop" !

Bref, juste pour en parler avec vous, même si vous m'aviez fait part de vos ressentis par rapport à ce monde. Si cela intéresse certaines, je partage ;)


PS : et le sujet du second reportage, même s'il est d'un tout autre registre, m'intéressait aussi ! Mais, il fallait maintenant que je travaille !


Et vous, connaissez-vous et/ou regardez-vous Reportages ?

4 commentaires:

  1. C'est vrai que c'est un monde particulier celui du cheval.
    Moi j'ai pas vraiment d'attachement pour cet animal mais je cimprends tô´ressenti comme pour les concours canin et autre d'ailleur :)

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    1. J'ai fait seulement un an d'équitation, je ne sais pas si cela explique mon intérêt pour ce monde mais sinon, je n'ai pas spécialement d'attachement à l'animal non plus.

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  2. le monde du cheval ne m'attire pas, et si j'aime les animaux, je n'ai jamais eu de feeling avec les chevaux.
    je trouve que le monde des courses est un monde pourri, dans lequel compte l'argent, comme dans tous les sports; il n'y a plus la noblesse de l'art.
    on est prêt à faire souffrir des chevaux, les gaver d'hormones, d'antibio, testostérone etc pour gagner du fric sur leur dos.
    et quand ils sont trop vieux, certains finissent leurs jours paisiblement, mais la plupart finissent abattus.
    la cause animale ne sort pas grandie de dans ce monde...

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    1. Tu m'avais déjà exposé ton ressenti cet été et je le comprends. Pourtant, même si je suis d'accord avec toi, j'arrive encore à voir la noblesse de l'animal et du sport...

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